En relisant un texte écrit lors de ma marche vers Compostelle en 2016, je me suis retrouvée face à des peurs que je pensais derrière moi. Aujourd’hui, alors que je me prépare pour le Népal en avril prochain – 5 jours de méditation suivis de 8 jours de trekking dans l’Himalaya – ces mêmes peurs refont surface, presque familières.
Mais cette fois-ci, j’ai 8 ans de plus... et quelques outils en plus aussi. La marche afghane et la libération du souffle sont devenues des alliées précieuses. Quand j’ai partagé mes inquiétudes avec Benoît, mon guide dans la libération du souffle, il m’a rappelé que je sais désormais comment relâcher les tensions qui bloquent ma respiration. Cette compétence, associée à la marche afghane, me permet de faire face aux longues distances avec sérénité.
Depuis 2019, j’enseigne moi-même la marche afghane, et j’entame bientôt une nouvelle session de formation. La première rencontre aura lieu le 9 novembre au Mont Saint-Bruno. Si tu veux en savoir plus, voici le lien pour les détails et l’inscription.
Pour te plonger dans mes réflexions d’il y a 8 ans, et voir à quoi ressemblait mon état d’esprit à l'approche de Compostelle, je t’invite à lire cet article.